Y a-t-il de l’obscène, de l’impudeur, du trouble dans le théâtre pour qui le regarde? Question de sujet? Question de mise en scène? Question de jugement personnel?
S’aventurer près du bord, oser l’inattendu ou l’impudique, risquer le malaise, est-ce joyeux, angoissant, propice à la réflexion, au plaisir?
Poursuite d’une petite enquête auprès de spectateurs de la Comédie de Caen à la sortie de spectacles audacieux, troublants, hors des sentiers battus.
Aujourd’hui, le Portrait de Raoul mis en scène par Marcial di Fonzo Bo: