Les études théâtrales en prépa au Lycée Malherbe
Se frotter au plateau, (se) diriger, être dirigé, mettre en scène, fabriquer, essayer, interpréter, dans des ateliers , des masterclasses ou des petites formes.
Les étudiants de khâgne en études théâtrales ouvrent leurs derniers travaux portant sur l’Electre de Sophocle le vendredi 7 juin à 15h00 à l’amphi Ponge. Comment mettre en scène la tragédie antique? que faire d’un choeur? Comment approcher d »Electre, figure d’éternelle colère
Les khâgnes ont travaillé 16 heures avec Céline Ohrel, auteure, actrice et metteure en scène, à partir de ses textes, de ceux de Falk Richter et de documents authentiques sur des situations contemporaines de révolte ou de burn out. A la clé un montage entre jeu, lecture et choralité qui explore avec jubilation des émotions et des situations souvent négatives.
Mercredi 16 janvier. Le travail sur l’élaboration de la dramaturgie comique classique s’accompagne d’un détour par la commedia dell’arte: histoire, sociologie, dramaturgie des types et des canevas, analyse des traces (zibaldone…), et masterclasse avec Jean-Marc Dupré, comédien, pour former au jeu masqué
Electre par Sophocle mais aussi réécrite par Durif, des chants vibratoires travaillés par Grotowski à la tragédie antique en passant par l’ici et maintenant de l’acteur. Le comédien Jérôme Bidaux emmène les étudiants de khâgne, le temps d’une masterclasse, vers l’expression simple
Suite à la représentation du 20 novembre de Lars Noren, un temps de masterclasse a réuni hypokhâgneux et khâgneux. Réflexion et pratique sur l’adresse et la communauté au théâtre, retour sur le spectacle et les émotions à l’oeuvre et travail de plateau
Avec Jérôme Bidaux, comédien dans les mises en scène de Tchekhov par Eric Lacascade et élève de Grotowski, les étudiants de HK en études théâtrales se frottent à des variations de scènes d’Ivanov et d‘Oncle Vania. Ecoute de la situation, verdict du
2 juin 2018 Les étudiants de khâgne ont profité de cette fin d’année pour restituer leurs travaux et explorations des tragédies de Sophocle sous la forme d’une représentation d’Electre en phase avec les propositions du metteur en scène Antoine Vitez qui a
Avec François Lanel, metteur en scène de la compagnie l’Accord sensible, on connaît le point de départ, moins le point d’arrivée, et « mine de rien » le spectacle se construit toujours entre associations d’idées, improvisation et jeux sur les textes et les choses.
